Sous le thème des duos, au-delà du +1. Avec en couverture exclusive, le duo sportif de l’heure, Laura Stacey et Marie-Philip Poulin, joueuses de hockey professionnelles, lstw consacre une section entière au hockey féminin.
“Avec le succès de la nouvelle Ligue professionnelle de hockey féminin, nous ne pouvions pas manquer l’occasion d’enfin parler de sport dans nos pages,” souligne Florence Gagnon, fondatrice, co-éditrice en chef et co-directrice de création de lstw. “Le fait que Laura et Marie-Philip choisissent de partager leur histoire avec lstw démontre aussi la forte connexion entre les communautés 2SLGBTQIA+ et les sports féminins.”
Les deux joueuses de l’équipe de Montréal dans la LPHF, championnes du monde et olympiques, partagent comment elles sont passées de coéquipières à épouses. Elles décrivent ouvertement comment elles naviguent les dynamiques relationnelles en jouant dans la même équipe et souvent sur la même ligne, abordent la compétitivité dans leur couple d’athlètes d’élite et partagent leurs aspirations pour laisser une empreinte significative dans leur sport et dans la société.
lstw a également fait appel à la défenseure de l’année dans la LPHF, Erin Ambrose, à titre de rédactrice en chef invitée de section. Le magazine met aussi de l’avant l’entraîneure des Stingers de l’Université Concordia et ex-joueuse américaine, Julie Chu, ainsi que la gardienne de but Carly Jackson (LPHF Toronto).
Voix et visions queers en lumière
Les pages du magazine font découvrir maintes formes d’addition de deux entités à travers diverses perspectives qui contribuent à déconstruire les stéréotypes, dont:
La mission de la photographe Morgan Lieberman;
Les univers du binôme Wynne and Kyle;
Alice Coffin, figure centrale des luttes féministes et LGBT françaises et internationales;
Franco Stevens, fondatrice du légendaire magazine lesbien Curve;
Une fable nordique de l’artiste et écrivaine Inuk Ashley Qilavaq-Savard;
« Ce nouveau numéro du magazine reflète parfaitement la solidarité entre les cultures queers. Nous avons constaté une grande collaboration et une convergence des univers, ce qui a produit une énergie extrêmement positive,” précise Florence Gagnon. “Notre intention était aussi de mettre en lumière des personnes qui ont longtemps été invisibilisées, notamment les lesbiennes aînées.”